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Rien de bien difficile si ce n'est la route des Tucs, toujours autant bosselée. J'appréhende les premiers raidillons car je ne sais pas comment ce vélo se conportera dans des pourcentages où je risque d'être à la ramasse!! Finalement tout ce passe à merveille: je mouline sur un petit braquet et je passe sans trop de difficulté. Il n'empêche que je me fais la réflexion suivante: "ça doit quand même pas être évident de franchir un grand col pyrénéen avec ce type d'engin. Il doit falloir être patient, très patient..." Voilà, nous arrivons à St Martin: nous avons roulé piano piano mais comme vous le savez, "qui va piano, va basso!!"
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